La sanction

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il y a 8 ans

La sanction

Comme chaque année, l'équipe sportive dont je fais partie, rencontre d'autres clubs dans le cadre d'un tournoi régional.

Cette fois-ci nous rencontrons sur leur terrain, l'équipe d'une ville réputée pour ses cités chaudes. D'ailleurs, les joueurs, tous de jeunes adultes majeurs, sont pour la plupart des beurs ou des blacks avec de belles petites gueules de cailleras.

Le match a été très serré et on a gagné d'un point très contesté par nos adversaires qui sont retournés furieux et injurieux vers leurs vestiaires. Afin d'éviter tout heurt, nous utilisons des vestiaires collectifs différents équipés de leurs propres douches.

J'ai pour habitude de rester longtemps sous la douche et je sors à poils le dernier. Dans cette atmosphère embuée et connaissant mal ces locaux, je me perds dans un dédale de pièces et de vestiaires. Croyant avoir retrouvé le bon vestiaire, je passe la porte et me retrouve soudainement au beau milieu de l'équipe adverse...

Complètement nus, ils sont tous en train de se sécher.

Sorti de ma stupeur, je m'apprête à rebrousser chemin, mais ils ont vite fait de bloquer la porte. Hicham, leur superbe capitaine, un petit brun avec une gueule de petite frappe, svelte à la peau ambrée, aux fesses galbées, aux abdos bien dessinés avec une délicate toison brune remontant au-delà du nombril, s'approche de moi et me dit que mon équipe mérite une punition pour les avoir battus déloyalement considérant qu'il aurait du y avoir au minimum un match nul. Il me balance sa serviette que je manque de prendre en pleine figure et m'ordonne de le sécher :

  • "allez sèche-moi !"

Toujours à poil, ils sont tous autour de moi, magnifiques avec leurs corps d’athlètes. J'esquisse une tentative de fuite mais je suis vivement empoigné par Karim et Walid. Puis Karim se plaque contre mon dos, me maintien le cou avec son bras et me serre fortement. Je me retrouve cambré la bite vers l’avant et sens le torse musculeux et chaud de mon agresseur contre la peau de mon dos et son bas ventre contre ma raie.

Nu et seul contre tous, je sens bien que toute résistance est vaine mais je prends peur et me débat malgré l’étreinte de Karim. Walid aidé de plusieurs coéquipiers tentent alors de me maintenir les bras et les jambes mais je continue de me débattre comme un beau diable.

« Il n’a pas l’air de comprendre ! » s’exclame Hicham leur capitaine avec un petit sourire en coin et un clin d’œil à ses potes. On va lui montrer comment, nous, on sèche les petits m e r d e ux des équipes de tricheurs.

Il pris alors sa serviette et tel un fouet la fit claquer sur mes cuisses à deux doigts de mes couilles. Karim et ses complices me lâchèrent et tous les types prirent alors leurs serviettes. J’ai vite compris leur petit jeu très prisé par les mecs dans les vestiaires en particulier qu’il s’agit de bizuter un petit nouveau.

Bien que le vestiaire fut assez grand, j’ai eu beaucoup de mal à éviter les coups de serviettes. Ils visaient en particulier mes fesses mais certains tentaient de toucher mes parties. Recroquevillé, grimaçant sous les claquements des tissus éponges, les mains protégeant mon anatomie intime, les dents serrées, j’encaissais.

Ils me baladèrent ainsi dans tout le vestiaire et les douches au son des claquements de serviettes, de leurs sarcasmes et de leurs insultes.

Après dix bonnes minutes de chasse à l’homme à la serviette, Hicham le capitaine de leur équipe, avec un sourire carnassier, me demande si j’accepte enfin de le sécher tel un « boy » à son service.

Je refusais.

« Il n’a toujours pas l’air de comprendre ! » « Fini de jouer ; on va passer aux choses sérieuses ; Attachez-le là ».

Deux mecs récupèrent leur ceinture aux pantalons encore suspendus aux vestiaires. Ces vestiaires ont une étagère par-dessus les portes manteaux accrochés aux murs et me voilà les poignets fixés à l’étagère et attachés avec les ceintures.

Toujours nu comme un ver, je me retrouve pendu par les poignets, les pieds touchant à peine le sol, le dos et les fesses à découvert. Dans cette inconfortable position, j’essaie de tourner la tête pour voir ce qui se passe derrière moi et je vois Hicham, nu, entouré des ses joueurs nus, faire glisser son ceinturon des passants de son jean accroché au porte manteau.

  • « il va comprendre ! » murmure t’-il…

J’ai à peine le temps de réaliser que je prends un coup cinglant de ceinturon sur les fesses qui me fait crier et gigoter. Un des types m’enfourne alors une chaussette dans la bouche. Un deuxième coup de ceinturon s’abat sur mon dos, puis un troisième et encore un autre. Les morsures infligées m’arrachent des cris étouffés par la chaussette.

Je sens des larmes me monter aux yeux quand mon b o u r r e a u me demande : « alors tu te décides à me sécher où je continue ? ». J’esquisse un oui de la tête et on me détache de cette fâcheuse posture. Karim récupère sa chaussette.

Résigné et soumis, la peau encore endolorie, je m'exécute, prends la serviette que l’on me tend et commence à essuyer Hicham en le frottant rapidement, ce qui ne lui plait pas : - « Doucement mon mignon, t'es pas en train d'essuyer la table »

Sans un mot, j'obéis et ralenti mon geste :

  • « Tu vois, quand tu veux ! » « Et n’oublie rien si tu ne veux pas encore goûter du ceinturon ! ! ! »

Je sèche plus lentement ce corps doré et bien sculpté et petit à petit, je commence à trouver la situation excitante. Je lui passe soigneusement la serviette sur tout son corps puis sur le cul, la raie et enfin délicatement je passe sur ses parties en n'osant pas prendre sa queue et ses couilles en mains pour mieux finir le travail. Excité, je commence à avoir un début d'érection. J’espère qu'ils ne vont pas s'en rendre compte et qu'ils vont rapidement me relâcher une fois la punition terminée.

  • « Une vraie petite mère ! » me dit Hicham.

  • « Ok c'est bon, laissez moi partir maintenant ! »

  • « Hum ! Quelque chose me dit que ça te plait » me répond-il en souriant et en me tapotant la bite. Le contact de sa main me provoque une érection sans équivoque. Humilié, honteux, je rougis, reste muet et penaud.

Triomphant, Hicham se met alors debout sur le banc central.

Il écarte les jambes ce qui ouvre légèrement les lobes de ses fesses puis me regardant droit dans les yeux m'ordonne de lui lécher le trou du cul, les couilles et la queue. Confus, entre désir et insoumission, j'hésite un instant, c'est alors que Hakim et Jawad me bloquent les bras derrière le dos, se plaquent sur moi, me prennent par la tête, et me poussent en avant en me collant littéralement le nez dans le cul de leur capitaine.

  • "Lèche !"

N'y tenant plus mon érection est totale. Je prends un étrange plaisir à la situation et m'applique avec sensualité sur sa rondelle toute propre à grands coups de langue pendant quelques minutes. Hakim et Jawad lâchent leur éteinte. Puis, je passe ma tête entre les jambes ambrées de mon dominateur et lui lèche ses couilles fraîchement rasées en les aspirant dans ma bouche. Il commence à bander et il m'ordonne de le sucer.

Hicham est toujours debout en équilibre sur le banc, les jambes écartées et, m’attrapant par les cheveux, me déplace tel une marionnette pour me présenter face à lui, je m'aperçois qu'autour de nous tous les mecs se paluchent grave. Je lui suce le gland et la hampe en donnant des petits coups de langue. Il a l'air d'apprécier.

Il halète et à un moment il me bloque la tête avec ses mains en donnant des coups de hanche afin d'enfoncer sa queue au maximum.

Je suis à la limite de suffoquer.

Je me masturbe en même temps et me retiens d'éjaculer.

Soudain je sens des mains me peloter et m'écarter les fesses.

Je sens une langue me titiller la rondelle ; je frémis et me pâme. « Regardez : il aime ça ce pédé !».

Bientôt un, deux puis trois doigts me dilatent et me lubrifient l'anus avec du gel, avec dextérité. Enfin, je sens le gland d'une pine bien dure pousser sur ma rondelle puis me pénétrer.

Debout, j'ondule : ma tête va au rythme de Hicham qui me bourre la gueule et mon cul va au rythme de celui qui me lime et que je ne vois même pas. Mon enculeur me maintien par les hanches et est plaqué contre moi. Je sens le battement des ses couilles contre mon entrejambe. Je le sens en moi, contre moi, ainsi que son souffle dans mon cou et c'est délicieux.

Soudain, il augmente la cadence, se cabre et jouit en moi dans un grand râle.

Vidé, il est aussitôt remplacé par un de ses coéquipiers qui m'encule sans difficulté car mon cul est bien dilaté. Celui-là est bien poilu car je sens sa toison me caresser la peau. Il m'enlace en me titillant les tétons. Puis, le capitaine sort sa teub de ma bouche pour m'en donner des petits coups sur les joues les lèvres et le nez.

Il me tourne la tête et mes lèvres viennent rencontrer celle du poilu qui me pilonne. Je reconnais Walid. Nous-nous embrassons profondément.

A son tour, il décharge en moi. Hicham, le capitaine, a repris sa position initiale tandis qu'un remplaçant me prend par l'arrière.

Celui-là entreprend de me masturber en même temps.

D'un seul coup, le capitaine se retire de ma bouche et éjacule sur mon visage au moment ou moi-même je jouis.

Béa, je reste debout devant Hicham qui bande encore et me tient par les cheveux en me tapotant de petits coups de bite, avant de me demander de la nettoyer. Ce que je fais sans rechigner.

Le remplaçant qui me prend toujours par l'arrière fini par jouir dans un grand râle. Karim fait alors remarquer que je prends aussi mon pied et que ce n'est pas vraiment une punition... Leur capitaine acquiesce.

Ils décident alors de m'attacher sur le banc avec des lacets de chaussures de sport. Je me retrouve sur le ventre les mains liées en dessous du banc et mes chevilles aux pieds du banc.

Mon cul, offert, dépassant en bout de banc et ma bite pendante. Alors que Youssef est à califourchon sur le banc et m'oblige à le sucer, ils passent tour à tour pour m'administrer une magistrale fessée, quelques coups de serviettes supplémentaires ainsi que de ceinturons.

Il y a même un qui s'est assis sur mon dos et a utilisé mon cul comme un tam-tam. Un autre, plus compatissant me masturbe par en dessous du banc. Il s'y prend tellement bien que j'ai vite fait de décharger à nouveau. Puis, je dois endurer le châtiment jusqu'à ce que tous les joueurs soient passés par ma bouche ou par mon cul.

Toujours attaché, j'ai le foutre de tous ces mecs qui coule de mon cul et de ma bouche. A ce moment là, ils ont poussé le banc dans les douches et un de ces cons a eu l'idée de me pisser dessus.

D’autres ont fait de même puis Khalil a déroulé le tuyau qui sert à nettoyer la salle d'eau afin de copieusement me passer le jet d'eau froide. Ils sont partis en rigolant, me laissant attaché, ruisselant et grelottant sur ce banc dans les douches.

A l’autre bout du complexe sportif, mes coéquipiers qui m'attendaient et commençaient à trouver le temps long, voyant que mes vêtements étaient toujours là sont partis à ma rechercher et ont fin par me trouver attaché, nu, trempé, les fesses bien rougies et le dos marqué.

Ils ont convenu que c'était une punition contre notre équipe et que c'est moi qui avait trinqué. Ils ne sauront jamais à quel point j’ai apprécié le rôle du puni soumis…

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